FAQ

L'abbaye est un lieu vivant qui abrite une communauté de sœurs. Ce lieu de vie privé n'est donc pas ouvert au public. Un musée est accessible sur place et gratuitement durant toute l’année. Il présente des objets historiques de la vie monastique et de l’histoire fromagère. Il est complété par une vidéo sur l’histoire de l’abbaye et son rythme de vie actuel. Un accueil personnalisé pour les groupes de plus de 10 personnes est possible sur réservation. Le programme comprend une présentation de l'histoire de l'abbaye, l'explication du métier d'affineur et une dégustation de fromages. Pour toute demande d’information, contactez-nous. Prochainement, un parcours de visite plus enrichi viendra compléter la proposition d’accueil. Il permettra de mieux comprendre et ressentir ce qui se vit à l'intérieur du monastère. En savoir plus.

Les activités économiques sont regroupées et portées depuis toujours au sein d’une entreprise détenue par la communauté des sœurs. Depuis 2020, elle est partagée avec un couple de laïcs, Antoine et Quitterie Dumont. Cette société, Le Cellier des Monastères, a pour mission de répondre à la dimension « travail » (labora) que les sœurs souhaitent vivre dans un cadre adapté, leur permettant d’être facilement conjugué avec leurs vie et rythme de prière. Le revenu généré par l’entreprise doit permettre de financer l’entretien des lieux, répondre aux besoins de la communauté, rémunérer ceux qui y travaillent, faire les investissements nécessaires, mais aussi soutenir ceux qui sont dans le besoin et en proximité.

Les sœurs peuvent occuper plusieurs fonctions au sein de l’entreprise. Certaines travaillent aux soins, à l’emballage et au conditionnement des fromages. D’autres à la fabrication des confitures et des pâtes de fruits, à l’effeuillage des plantes pour la réalisation des tisanes, ou encore à l’accueil du public et au magasin. Au-delà de l’entreprise, les sœurs de la communauté travaillent au verger ou dans le monastère pour s’occuper de la lessive, de la couture, de la comptabilité, des réparations diverses, des sœurs malades, etc…

21 religieuses âgées de 30 à 93 ans vivent actuellement à l’abbaye et alternent vie de prière et vie de travail. La communauté compte même une centenaire, soeur Irène, qui réside depuis quelques mois à La Puye, dans un EHPAD tenu par les Filles de la Croix, la communauté n’ayant pas la possibilité d’assurer sa qualité de vie au quotidien au monastère.

Il faut plusieurs années de discernement avant de s’engager définitivement en toute liberté et conscience dans la vie monastique. La période de formation des soeurs se déroule en plusieurs étapes. A chaque étape correspond un habit différent : Les postulantes restent en civil -au moins un an. Les novices ont une tenue toute blanche : robe, scapulaire, voile et chape -une sorte de cape sans manche mise durant les offices- deux ans. Les jeunes professes portent un voile blanc, le scapulaire noir et la ceinture -signe de lien-. Cette étape est un engagement de 5 ans. Lorsqu’elles prononcent leurs voeux définitifs au bout de plusieurs années (10 ans), les soeurs revêtent la coule -vêtement monastique aux larges manches- et le voile noir.

Rénovée au début des années 2000, l'hôtellerie est dédiée à l’accueil des retraitants. Le but d’un séjour à l’hôtellerie est le ressourcement humain et spirituel. Ouverte à tous, l'hôtellerie accueille aussi bien les personnes individuelles que des groupes. Les retraites sont des temps favorables pour la lecture, la prière, la méditation, la promenade. Les retraitants peuvent organiser leur temps à leur rythme, et sont invités à participer librement à la prière des Heures de la Communauté qui célèbre Dieu sept fois par jour à l’église. "Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ, car il dira un jour : J'ai été votre hôte et vous m'avez reçu ..." Règle de Saint Benoît Ch.53

L'abbaye est un lieu vivant qui abrite une communauté de sœurs. Ce lieu de vie privé n'est donc pas ouvert au public. Un musée est accessible sur place et gratuitement durant toute l’année. Il présente des objets historiques de la vie monastique et de l’histoire fromagère. Il est complété par une vidéo sur l’histoire de l’abbaye et son rythme de vie actuel. Un accueil personnalisé pour les groupes de plus de 10 personnes est possible sur réservation. Le programme comprend une présentation de l'histoire de l'abbaye, l'explication du métier d'affineur et une dégustation de fromages. Pour toute demande d’information, contactez-nous. Prochainement, un parcours de visite plus enrichi viendra compléter la proposition d’accueil. Il permettra de mieux comprendre et ressentir ce qui se vit à l'intérieur du monastère. En savoir plus.

Les activités économiques sont regroupées et portées depuis toujours au sein d’une entreprise détenue par la communauté des sœurs. Depuis 2020, elle est partagée avec un couple de laïcs, Antoine et Quitterie Dumont. Cette société, Le Cellier des Monastères, a pour mission de répondre à la dimension « travail » (labora) que les sœurs souhaitent vivre dans un cadre adapté, leur permettant d’être facilement conjugué avec leurs vie et rythme de prière. Le revenu généré par l’entreprise doit permettre de financer l’entretien des lieux, répondre aux besoins de la communauté, rémunérer ceux qui y travaillent, faire les investissements nécessaires, mais aussi soutenir ceux qui sont dans le besoin et en proximité.

Les sœurs peuvent occuper plusieurs fonctions au sein de l’entreprise. Certaines travaillent aux soins, à l’emballage et au conditionnement des fromages. D’autres à la fabrication des confitures et des pâtes de fruits, à l’effeuillage des plantes pour la réalisation des tisanes, ou encore à l’accueil du public et au magasin. Au-delà de l’entreprise, les sœurs de la communauté travaillent au verger ou dans le monastère pour s’occuper de la lessive, de la couture, de la comptabilité, des réparations diverses, des sœurs malades, etc…

21 religieuses âgées de 30 à 93 ans vivent actuellement à l’abbaye et alternent vie de prière et vie de travail. La communauté compte même une centenaire, soeur Irène, qui réside depuis quelques mois à La Puye, dans un EHPAD tenu par les Filles de la Croix, la communauté n’ayant pas la possibilité d’assurer sa qualité de vie au quotidien au monastère.

Il faut plusieurs années de discernement avant de s’engager définitivement en toute liberté et conscience dans la vie monastique. La période de formation des soeurs se déroule en plusieurs étapes. A chaque étape correspond un habit différent : Les postulantes restent en civil -au moins un an. Les novices ont une tenue toute blanche : robe, scapulaire, voile et chape -une sorte de cape sans manche mise durant les offices- deux ans. Les jeunes professes portent un voile blanc, le scapulaire noir et la ceinture -signe de lien-. Cette étape est un engagement de 5 ans. Lorsqu’elles prononcent leurs voeux définitifs au bout de plusieurs années (10 ans), les soeurs revêtent la coule -vêtement monastique aux larges manches- et le voile noir.

Rénovée au début des années 2000, l'hôtellerie est dédiée à l’accueil des retraitants. Le but d’un séjour à l’hôtellerie est le ressourcement humain et spirituel. Ouverte à tous, l'hôtellerie accueille aussi bien les personnes individuelles que des groupes. Les retraites sont des temps favorables pour la lecture, la prière, la méditation, la promenade. Les retraitants peuvent organiser leur temps à leur rythme, et sont invités à participer librement à la prière des Heures de la Communauté qui célèbre Dieu sept fois par jour à l’église. "Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ, car il dira un jour : J'ai été votre hôte et vous m'avez reçu ..." Règle de Saint Benoît Ch.53

L'abbaye est un lieu vivant qui abrite une communauté de sœurs. Ce lieu de vie privé n'est donc pas ouvert au public. Un musée est accessible sur place et gratuitement durant toute l’année. Il présente des objets historiques de la vie monastique et de l’histoire fromagère. Il est complété par une vidéo sur l’histoire de l’abbaye et son rythme de vie actuel. Un accueil personnalisé pour les groupes de plus de 10 personnes est possible sur réservation. Le programme comprend une présentation de l'histoire de l'abbaye, l'explication du métier d'affineur et une dégustation de fromages. Pour toute demande d’information, contactez-nous. Prochainement, un parcours de visite plus enrichi viendra compléter la proposition d’accueil. Il permettra de mieux comprendre et ressentir ce qui se vit à l'intérieur du monastère. En savoir plus.

Les activités économiques sont regroupées et portées depuis toujours au sein d’une entreprise détenue par la communauté des sœurs. Depuis 2020, elle est partagée avec un couple de laïcs, Antoine et Quitterie Dumont. Cette société, Le Cellier des Monastères, a pour mission de répondre à la dimension « travail » (labora) que les sœurs souhaitent vivre dans un cadre adapté, leur permettant d’être facilement conjugué avec leurs vie et rythme de prière. Le revenu généré par l’entreprise doit permettre de financer l’entretien des lieux, répondre aux besoins de la communauté, rémunérer ceux qui y travaillent, faire les investissements nécessaires, mais aussi soutenir ceux qui sont dans le besoin et en proximité.

Les sœurs peuvent occuper plusieurs fonctions au sein de l’entreprise. Certaines travaillent aux soins, à l’emballage et au conditionnement des fromages. D’autres à la fabrication des confitures et des pâtes de fruits, à l’effeuillage des plantes pour la réalisation des tisanes, ou encore à l’accueil du public et au magasin. Au-delà de l’entreprise, les sœurs de la communauté travaillent au verger ou dans le monastère pour s’occuper de la lessive, de la couture, de la comptabilité, des réparations diverses, des sœurs malades, etc…

21 religieuses âgées de 30 à 93 ans vivent actuellement à l’abbaye et alternent vie de prière et vie de travail. La communauté compte même une centenaire, soeur Irène, qui réside depuis quelques mois à La Puye, dans un EHPAD tenu par les Filles de la Croix, la communauté n’ayant pas la possibilité d’assurer sa qualité de vie au quotidien au monastère.

Il faut plusieurs années de discernement avant de s’engager définitivement en toute liberté et conscience dans la vie monastique. La période de formation des soeurs se déroule en plusieurs étapes. A chaque étape correspond un habit différent : Les postulantes restent en civil -au moins un an. Les novices ont une tenue toute blanche : robe, scapulaire, voile et chape -une sorte de cape sans manche mise durant les offices- deux ans. Les jeunes professes portent un voile blanc, le scapulaire noir et la ceinture -signe de lien-. Cette étape est un engagement de 5 ans. Lorsqu’elles prononcent leurs voeux définitifs au bout de plusieurs années (10 ans), les soeurs revêtent la coule -vêtement monastique aux larges manches- et le voile noir.

Rénovée au début des années 2000, l'hôtellerie est dédiée à l’accueil des retraitants. Le but d’un séjour à l’hôtellerie est le ressourcement humain et spirituel. Ouverte à tous, l'hôtellerie accueille aussi bien les personnes individuelles que des groupes. Les retraites sont des temps favorables pour la lecture, la prière, la méditation, la promenade. Les retraitants peuvent organiser leur temps à leur rythme, et sont invités à participer librement à la prière des Heures de la Communauté qui célèbre Dieu sept fois par jour à l’église. "Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ, car il dira un jour : J'ai été votre hôte et vous m'avez reçu ..." Règle de Saint Benoît Ch.53

L'abbaye est un lieu vivant qui abrite une communauté de sœurs. Ce lieu de vie privé n'est donc pas ouvert au public. Un musée est accessible sur place et gratuitement durant toute l’année. Il présente des objets historiques de la vie monastique et de l’histoire fromagère. Il est complété par une vidéo sur l’histoire de l’abbaye et son rythme de vie actuel. Un accueil personnalisé pour les groupes de plus de 10 personnes est possible sur réservation. Le programme comprend une présentation de l'histoire de l'abbaye, l'explication du métier d'affineur et une dégustation de fromages. Pour toute demande d’information, contactez-nous. Prochainement, un parcours de visite plus enrichi viendra compléter la proposition d’accueil. Il permettra de mieux comprendre et ressentir ce qui se vit à l'intérieur du monastère. En savoir plus.

Les activités économiques sont regroupées et portées depuis toujours au sein d’une entreprise détenue par la communauté des sœurs. Depuis 2020, elle est partagée avec un couple de laïcs, Antoine et Quitterie Dumont. Cette société, Le Cellier des Monastères, a pour mission de répondre à la dimension « travail » (labora) que les sœurs souhaitent vivre dans un cadre adapté, leur permettant d’être facilement conjugué avec leurs vie et rythme de prière. Le revenu généré par l’entreprise doit permettre de financer l’entretien des lieux, répondre aux besoins de la communauté, rémunérer ceux qui y travaillent, faire les investissements nécessaires, mais aussi soutenir ceux qui sont dans le besoin et en proximité.

Les sœurs peuvent occuper plusieurs fonctions au sein de l’entreprise. Certaines travaillent aux soins, à l’emballage et au conditionnement des fromages. D’autres à la fabrication des confitures et des pâtes de fruits, à l’effeuillage des plantes pour la réalisation des tisanes, ou encore à l’accueil du public et au magasin. Au-delà de l’entreprise, les sœurs de la communauté travaillent au verger ou dans le monastère pour s’occuper de la lessive, de la couture, de la comptabilité, des réparations diverses, des sœurs malades, etc…

21 religieuses âgées de 30 à 93 ans vivent actuellement à l’abbaye et alternent vie de prière et vie de travail. La communauté compte même une centenaire, soeur Irène, qui réside depuis quelques mois à La Puye, dans un EHPAD tenu par les Filles de la Croix, la communauté n’ayant pas la possibilité d’assurer sa qualité de vie au quotidien au monastère.

Il faut plusieurs années de discernement avant de s’engager définitivement en toute liberté et conscience dans la vie monastique. La période de formation des soeurs se déroule en plusieurs étapes. A chaque étape correspond un habit différent : Les postulantes restent en civil -au moins un an. Les novices ont une tenue toute blanche : robe, scapulaire, voile et chape -une sorte de cape sans manche mise durant les offices- deux ans. Les jeunes professes portent un voile blanc, le scapulaire noir et la ceinture -signe de lien-. Cette étape est un engagement de 5 ans. Lorsqu’elles prononcent leurs voeux définitifs au bout de plusieurs années (10 ans), les soeurs revêtent la coule -vêtement monastique aux larges manches- et le voile noir.

Rénovée au début des années 2000, l'hôtellerie est dédiée à l’accueil des retraitants. Le but d’un séjour à l’hôtellerie est le ressourcement humain et spirituel. Ouverte à tous, l'hôtellerie accueille aussi bien les personnes individuelles que des groupes. Les retraites sont des temps favorables pour la lecture, la prière, la méditation, la promenade. Les retraitants peuvent organiser leur temps à leur rythme, et sont invités à participer librement à la prière des Heures de la Communauté qui célèbre Dieu sept fois par jour à l’église. "Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ, car il dira un jour : J'ai été votre hôte et vous m'avez reçu ..." Règle de Saint Benoît Ch.53